Tribune Juive

Et le Nobel de littérature est attribué à Annie Ernaux, la plus anti israélienne des écrivains

Annie Ernaux à la 30e Foire du livre de Brive-la-Gaillarde

Parce que parfois on n’a plus envie,

Parce que d’autres l’ont fait si justement,

Eh bien TJ laisse la parole à Daniel Horowitz.

« Annie Ernaux est une écrivaine française de grand talent, dont l’œuvre est essentiellement autobiographique. Elle vient d’un milieu modeste, où ses parents étaient exploitants d’un café-épicerie après avoir été ouvriers. A force de persévérance elle arrive à s’extraire de son milieu et devient agrégée de lettres. Elle gardera toute sa vie un sentiment de culpabilité par rapport à sa classe sociale, dont elle s’est éloignée par la force des choses.

Ernaux est lauréate de nombreux prix littéraires, dont le Renaudot en 1984 pour son ouvrage « La Place ». Elle figure parmi les grands écrivains français de notre temps.

Ernaux est récemment passée à la télévison sur France 5, où elle était le principal centre d’intérêt. Indépendamment de sa belle plume, on a pu découvrir la dérive morale et intellectuelle de cette femme de lettres par ailleurs si brillante.

Ernaux est néoféministe, raciste, indigéniste, communiste, antisémite, décoloniale, neoécologique, propalestinienne, ennemie d’Israël et militante de la France Insoumise depuis 10 ans. Elle est d’ailleurs une inconditionnelle du leader de ce parti islamogauchiste, Jean-Luc Mélenchon, qui adore lui aussi fréquenter les antisémites de son parti ou d’ailleurs.

Ernaux a cosigné dans le quotidien « Le Monde » une tribune de soutien à Houria Bouteldja, antisémite notoire, et appelé au boycott d’une manifestation culturelle franco – Israélienne. Son amie Bouteldja juge que Miss Provence était indigne de participer à Miss France, parce qu’elle avait un père israélo-italien. Elle trouve d’ailleurs d’une manière générale qu’on « ne peut pas être Israélien innocemment » et suggère d’envoyer tous les sionistes au Goulag.

C’est cette scélérate proche des pires ennemis de Juifs que soutient Annie Ernaux, qui n’a même pas l’excuse de l’ignorance ».

© Daniel Horowitz

https://frblogs.timesofisrael.com/annie-ernaux-et-la-bete-immonde/

Daniel Horowitz est né en Suisse, où ses parents s’étaient réfugiés pour fuir l’occupation de la Belgique. Revenu à Anvers il grandit au sein de la communauté juive. A l’âge de quinze ans il entre dans l’industrie diamantaire et y fait carrière. Passé la soixantaine il émigre en Israël où il se consacre désormais à l’écriture. Il a récemment publié aux éditions l’Harmattan un ouvrage intitulé « Leibowitz ou l’absence de Dieu ».

« A l’image de nombreuses institutions, l’Académie Nobel tombe bien bas… Je préfère me souvenir que le Prix Nobel de littérature fut décerné à Albert Camus, et, plus récemment, à Patrick Modiano, récompensant ainsi une pensée humaniste et puissante, un vocabulaire choisi et un style inimitable. L’époque étant à la louange de l’injure et de l’insignifiant, de la vulgarité et de la haine viscérale, le Prix Nobel de littérature est décerné à ce qui incarne cette dégénérescence de la pensée », commente une de nos lectrices.

Quitter la version mobile