Le chancelier Allemand Scholz se dit dégoûté par les commentaires d’Abbas sur les 50 holocaustes.
Il a exprimé son indignation face à l’affirmation du président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, selon laquelle Israël aurait perpétré 50 holocaustes.
« Je suis dégoûté par les propos scandaleux du président palestinien Mahmoud Abbas », a tweeté Scholz. « Pour nous, Allemands en particulier, toute relativisation de la singularité de l’Holocauste est intolérable et inacceptable. Je condamne toute tentative de nier les crimes de l’Holocauste ».
Mon point de vue:
Pour avoir vécu une partie de ma vie en terre arabe,
Pour avoir côtoyé en France des Arabes qui étaient et sont toujours mes amis,
Pour avoir été reçu au Maroc, en Tunisie, au Liban, en Égypte comme un ami,
Pour vivre aujourd’hui en Israël, quotidiennement, aux côtés d’arabes,
Je refuse que quiconque puisse prétendre au moindre racisme de ma part.
Je parle arabe, je mange souvent arabe,
Cependant, je maintiens et reste persuadé que, tant que nous ne serons pas capables de renvoyer la population hostile, tant que nous accepterons la présence à nos côtés d’individus qui veulent notre élimination, nous continuerons à payer, encore et encore.
Beaucoup pensent qu’il est trop tard, que nous avons trop attendu!
Je prétends que non!
Nous étions présent depuis plus de 2000 ans en terres Arabes.
Dans un laps de temps très court, nous avons été chassés de 10 pays.
Nous avons juste besoin de déplacer une minorité de meneurs d’une bande côtière.
Il faut l’entreprendre sans tarder.
Il ne faut plus qu’un Mahmoud Abbas débite des inepties, sans comparaison possible, et qu’il n’y ait pas une réaction en proportion.
Il ne faut plus qu’un BDS distribue des tee-shirts sur lesquels il est inscrit:
ISRAËL, FIN DE L’APARTHEID.
Il ne faut plus qu’un seul Imam se livre à un prêche antisémite et que la chose soit ignorée.
Je pourrais étaler les « Il ne faut plus… » à l’infini, Mais je sais que vous n’irez pas au bout.
Toutefois, ce discours oblige l’élite juive et sympathisante a réagir vigoureusement.
Il ne suffit plus de lire dans la presse juive que telle institution ou tel président est choqué ou condamne…
DES ACTES.
Il est nécessaire de sortir de cette léthargie qui pousse le gouvernement de France à négocier avec les terroristes, comme il fut fait suite à l’attentat de la Rue des Rosiers.
Une période de calme relatif ce n’est pas la paix.
Je terminerai par cette citation:
« Celui qui a la force ou est censé avoir la force peut faire de qu’il veut. »
Nous constatons que rien n’est plus erroné.
Puisque nous avons la force, et nos ennemis font ce qu’ils veulent.
René Seror
