Tribune Juive

Maître Francis Szpiner. Candidat LR aux législatives. Lorsque talent, expérience et courage vont de pair

Dans mon Panthéon personnel, quelques noms. Du milieu politique, ils s’appellent Simone Veil, Philippe Seguin, Claude Goasguen, Claude Barouch.

Francis Szpiner est de ceux-là. Avocat reconnu, beaucoup l’ont découvert lors de l’Affaire Ilan Halimi. Il renversa la table lors du procès Abdelkader Merah, où il imposa à la Cour la notion de complicité. On le retrouva dans l’Affaire Sarah Halimi.

Aujourd’hui, l’homme politique en lui s’impose, n’étonnant pas ceux qui ont suivi les Affaires qu’il défendit en ce domaine tout au long de sa vie.

Ex-président de la commission juridique de la Licra, Maire du XVIe, Conseiller de Paris LR dans le Groupe  ChangerParis, le Candidat LR aux législatives était hier, au micro de Benjamin Petrover, l’invité du Grand Oral des GGMO.

Ecoutez-le. Ses réponses justes et courageuses tranchant avec le déni et la lâcheté ambiants faisaient du bien en cette fin d’un mois de mai marqué par une atmosphère faire d’épuisement, de désillusion, de dégoût, de détachement, de colère mais encore de tristesse: Qu’étaient nos hommes politiques devenus? Qui pour driver le Pays?

Peut-être un Francis Szpiner. Duquel je me disais, l’écoutant, que si René Hadjadj avait été mon père, ç’aurait été à lui que je m’en serais remise: l’expérience doublée de talent mais encore de ce courage déterminé devenu si rare fait de lui un phare. Un mur porteur sur lequel s’appuyer.

« Ce qui se passe en Israël, c’est le laboratoire du terrorisme »

« Un certain nombre d’affaires montrent que la justice est défaillante

« Il y a une culture de l’antisémitisme dans nos banlieues »

Isra¨el est un pays ami qui pratique la démocratie, le pluralisme et la liberté de la presse contrairement à ce que disent leurs adversaires »

« Quand JLM dit qu’il sera Premier Ministre, on pourra lui donner le prix de l’humour politique »

« Mon principal adversaire est l’abstention »

« Valérie Pécresse a été une candidate sérieuse »

« Je ne peux pas mettre Macron et Le Pen sur le même plan »

« Nous devons reconstruire notre parti. Il faut que l’on parle aux jeunes et aux classes populaires ! »

Sarah Cattan

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