Tribune Juive

L’antisémite de la semaine : Agnès Callamard – L’imposture d’Amnesty International

FILE PHOTO: Agnes Callamard, U.N. special rapporteur on extrajudicial, summary or arbitrary executions, holds a joint news conference with Hatice Cengiz, the fiancee of murdered journalist Jamal Khashoggi, in Brussels, Belgium December 3, 2019. REUTERS/Francois Lenoir/File Photo

12 février 2022

Agnès Callamard est la secrétaire générale d’ Amnesty International, une ONG basée au Royaume-Uni qui prétend faire campagne pour les droits de l’homme pour tous. Sous la direction de Callamard, la mission d’Amnesty s’est transformée en une chasse aux sorcières contre la seule nation juive au monde, l’État d’Israël.

Confrontée au fait que l’organisation non seulement ignore, mais promeut également l’antisémitisme, elle a outrageusement déclaré « nous ne pouvons pas faire campagne sur tout » malgré le fait qu’elle ait trouvé le temps de publier un rapport de 100 pages sur l’islamophobie.

L’obsession atroce de Callamard consistant à diaboliser l’État juif s’étend à la diffusion de mensonges sur Israël, comme le fait d’alléguer qu’il était impliqué dans la mort du chef de l’OLP, Yasser Arafat. Elle a mensongèrement affirmé que l’ancien Premier ministre israélien Shimon Peres avait admis qu’Israël aurait assassiné Arafat. Lorsque la presse a révélé publiquement son mensonge, Callamard a refusé de le retirer de son compte Twitter, où il demeure toujours un bonne place.

En 2018, lorsque le Hamas a encouragé son peuple à démolir violemment la frontière entre Israël et Gaza et à « mettre en œuvre par la violence le droit au retour et à conquérir Jérusalem », Callamard a défendu les tentatives d’éliminer l’État juif comme « un exercice légitime des droits à la liberté d’expression ». Elle a également condamné le droit indéniable d’Israël de protéger ses soldats, ses frontières et ses citoyens.

Malgré des vidéos et des photos montrant des terroristes jetant des pierres, plaçant des explosifs à la frontière, tirant sur des soldats israéliens et appelant au meurtre de Juifs, Callamard a, de façon absurde, affirmé que les manifestations étaient pacifiques en déclarant : « Il n’y a aucune preuve disponible suggérant que la vie de personnes lourdement armées des forces de sécurité ont été menacées. »

Callamard est également connue pour être étroitement liée à des individus impliqués dans le terrorisme. Sur la photo ci-dessous, elle est assise à côté des chefs de trois ONG liées au PLFP – Sahar Francis, responsable d’Addameer , Ubai Aboudi de Bisan Research et Shawan Jabarin d’ Al-Haq. Francis a faussement accusé Israël dans la presse mondiale de prélever des organes sur des Palestiniens. Aboudi a été reconnu coupable d’avoir recruté des terroristes en 2020 et d’avoir planifié une attaque terroriste en 2005. Jabarin a été arrêté à plusieurs reprises et reconnu coupable de terrorisme.

La semaine dernière, Amnesty a publié un rapport anonyme de 200 pages qualifiant à tort Israël d’État d’état d’apartheid. Le rapport a été immédiatement réprimandé par de nombreux militants et législateurs israélo-arabes influents, dont Mansour Abbas, chef de la Liste arabe unie qui représente le parti à la Knesset.

Amnesty International, qui était autrefois une organisation respectée de défense des droits humains, est honteusement utilisée par des antisémites comme Agnès Callamard comme un véhicule pour promouvoir leur parti-pris haineux et délégitimer la seule démocratie du Moyen-Orient – Israël.

stopantisemitism.org

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