Tribune Juive

Violences au cours du meeting de Zemmour à Villepinte

Eric Zemmour a été saisi par le cou par un individu, comme pour le jeter à terre (?-) – puis des bagarres et exfiltrations dans le fond de la salle, se sont déroulées sur fond de provocation symbolique de SOS -Racisme…

Sur un autre registre, nous apprenons que le parti d’Eric Zemmour s’appellera : « Reconquête »

Sur le site de l’Institut national de la propriété industrielle (Inpi), un dépôt de marque pour ce terme « Reconquête » a été effectué par Gilbert Payet, un préfet devenu « conseiller technique et juridique » d’Éric Zemmour.

Le choix de ce sigle alimentera sûrement de nombreux commentaires :

——— Les échaufourrées sur le terrain ——-

Les forces de l’ordre avaient anticipé des débordements en marge du meeting d’Eric Zemmour, alors que des militants antifas manifestent ce dimanche leur opposition au candidat populaire (19.000 inscrits à son meeting).

Vers midi ce dimanche, une soixantaine de manifestants anti-Zemmour sont arrivés à Villepinte, en Seine-Saint-Denis, mais ont rapidement été repoussés par les forces de l’ordre.

Trente minutes plus tard, une deuxième vague de protestataires a déferlé avant d’être également éloignée de la gare du RER B qui permet d’accéder au parc des Expositions, où Zemmour va prendre la parole à partir de 16 heures. Une trentaine de militants sectaires se prétendant « antifascistes » a été interpellée en début d’après-midi aux abords du parc des Expositions, a t-on appris de source policière.

Ne pouvant justifier de leurs identités, ces personnes ont été conduites au commissariat pour des vérifications. La police a saisi sur certaines d’entre elles des cocktails molotov et des objets pouvant s’apparenter à des armes par destination.

« Faire taire » Zemmour

Le but des forces de police est d’éviter les affrontements entre les manifestants anti-Zemmour et ses soutiens qui viennent assister au meeting. Pour ce faire, un important dispositif de sécurité est déployé, avec la présence de la Brigade de répression de l’action violente (Brav). Une mesure qui répond à la crainte d’une montée des tensions et des crispations autour du candidat qui s’est récemment déclaré tel. Ces militants sectaures dits antifas ont en effet annoncé leur intention de manifester pour le « faire taire ». Apparemment, c’est raté.

Documentation : BFMtv

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