Tribune Juive

Maître Loïc Henri. Sarah Halimi. Les acteurs en présence ont menti, bluffé, trahi. Le « Faux en écriture publique » est avéré

Alors voilà les langues se délient.

Ce que nous pressentions au travers des lignes d’un réquisitoire se confirme.

Ce qu’une procédure a grossièrement tenté d’escamoter se précise.

Les acteurs en présence ont menti, bluffé, trahi.

Peu importe que tous les recours aient été épuisés: Meyer Habib joue merveilleusement son rôle. Mon Confrère Nathanaël Majster (ancien magistrat) fait accoucher la vérité. Même Szpiner reconnait que la magistrate en charge de l’instruction n’est certainement pas la brave fille qu’il nous a vendu tout au long de la procédure.

Oui les DIARRA reconnaissent avoir lancé par la fenêtre les clefs aux premiers officiers de police…

Oui les DIARRA reconnaissent qu’il n’y eut aucune violence du meurtrier à leur égard : c’est donc de leur plein gré qu’ils se sont volontairement retranchés dans une pièce.

Alors que depuis 2018 je criais dans le désert au « Faux en écriture publique », – il suffisait de re-lire le Réquisitoire du Parquet sous l’œil d’un juriste – Voilà que désormais cette évidence s’impose.

Loin de moi l’idée de revendiquer une quelconque paternité. L’essentiel n’est pas dans une illusoire reconnaissance. L’essentiel c’est une souffrance fruit d’une imposture humaine. Souffrance des proches, de tous ceux qui se sentent concernés, mais avant tout souffrance de Lucie Attal dite Sarah Halimi.

A ceux qui ne se résignent JAMAIS.

© Loïc Henri

Paru en juin 2021: Défendre. Le Prix à payer. Quand un Magistrat ferme la porte à la preuve, notre Démocratie se meurt. Chez Meduse Publishing
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