Ils sont les Valets de tous les gouvernements depuis Giscard jusqu’à Macron.
Khalifat, Badinter, BHL, Sinclair, Attali, Hanouna, Bruel, Macias, Drucker, Patrick Cohen, etc…
La liste est longue.
Ils ne veulent surtout pas tirer les leçons des assassinats d’hommes, femmes et enfants juifs depuis 20 ans, assassinés parce que Juifs par des musulmans. Jamais par l’extrême droite rance de papa.
Aujourd’hui, tous ces alterjuifs vitupèrent contre le seul politique qui voudrait mettre un terme à ces flux par millions parmi lesquels se sont trouvés les assassins de leurs frères et sœurs communautaires.
Leur aveuglement pourrait, en fait, ne leur porter aucun préjudice personnel.
Pourquoi ?
Parce que tous ont les moyens financiers, si cela tournait mal, de partir se réfugier à l’étranger, en Israël ou ailleurs.
La première alya intérieure, 60.000 Juifs des départements islamisés d’Ile de France vers la capitale, notamment le 17ème arrondissementt, a laissé ces alterjuifs froids, glacés, non solidaires. Ils s’en sont tapés, car les défendre, les comprendre serait condamner leur posture depuis toujours. Posture qui est de victimiser les « immigrés » qu’ils ont toujours défendu de leur hôtel particulier de la Place des Vosges ou du 5ème arrondissement, où les seuls étrangers qu’ils voient sont leur personnel philippin. Chrétien.
Ils s’apprêtent à nouveau à voter pour Macron. Et déjà fustigent ceux qui sortiraient des clous, admonestant ces petits Juifs de la plèbe qui oseraient vouloir voter pour leur sécurité.
J’estime qu’il est de salubrité publique de ne pas suivre ces Juifs de Cour, ces Juifs de connivence, qui ont toujours priorisé leur intérêt personnel, en monnaie sonnante et trébuchante, à celle de la France, et accessoirement, de la communauté juive de France.
William Fitoussi