Samuel Goujon a été mis en examen hier et placé sous contrôle judiciaire, notamment pour injure publique en raison de l’origine, de l’appartenance à une ethnie, une race ou une religion, mais encore pour provocation publique à la discrimination, à la haine, à la violence et provocation publique à commettre des atteintes volontaires à la vie.
Chacun se souvient que son site était depuis le début aout dans le viseur du Ministre de l’Intérieur qui l’avait aussitôt fait fermer : impossible désormais de s’en référer à l’enfant du journal collaborationniste pour vérifier Qui, mais Qui donc, personnalité du monde médiatique, culturel, politique, y est … recensé comme … Juif.
Recensé ? Mais mieux encore, la chose étant présentée sur une infographie accompagnée de préférence d’une photo de la personne ciblée.
L’Organisation juive européenne avait permis d’établir que le dénommé Goujon avait encore participé à la création de Damoclès : Pour rappel, si en France, les sites couvrant toutes les tendances de l’extrême droite sont qualifiés par certains de fachosphère, eux-mêmes se nomment sites de ré-information.