– Président du Jury : Spike Lee
– Palme d’or : Julia Ducournau pour son film « Titane »
– Prix du Jury ex æquo : « Le genou d’Ahed » de l’israélien Nadav Lapid

Vadim Ghirda/AP/SIPA
Toutes les conditions ne sont elles pas remplies pour obéir aux nouvelles normes des militants « antiracistes » « féministes » « anticolonialistes » ? La woke culture autrement dit ?
. Spike Lee spécialiste des films sur la communauté noire et les préjugés raciaux
. Julia Ducournau : une femme
. Nadav Lapid enfin : israélien bouffi de haine à l’égard d’Israël qui entretient un antisémitisme de bon ton, dont on se rappellera ses propos (« je suis arrivé en France pour fuir Israël cet état méchant, obscène, ignorant, sordide, fétide, grossier , étriqué, répugnant, bas d’esprit, bas de cœur ».
Critique très bien accueillie évidemment par le Jury sur l’état d’Israël et de « la mort de la liberté d’expression dans ce pays » (tellement « mort de liberté d’expression » que ce réalisateur bénéficie de subventions du gouvernement israélien…
On le connaissait déjà pour son film « Synonymes » qui avait gagné l’Ours d’Or à Berlin.
Il avait dit aussi qu’il souhaitait être enterré au Père Lachaise après qu’Israël ait disparu. Souhaitons lui un Oscar du BDS avant que ce premier souhait soit exaucé quitte à se faire retourner dans leurs tombes Balzac, Apollinaire, Proust et les autres.
Alain Chouffan