Qui eût imaginé qu’un jour TJ se plût à citer Jean-Marie Bigard, l’humoriste hors sujet ici, celui que tous nous qualifions de … vulgaire, emblême de la beaufitude, du « goût des autres », et qui, à ce titre, ne nous oblige jamais à parler de lui.
Mais ses mots laissent muets: Que répondre lorsque la vérité est dite. Et nous dérange un brin.
Nous reviendrons sur ce naufrage français, dont parlent les media étrangers, (!), et ne chercherons point d’excuses et de fausses pudeurs à nous disputer et à savoir Qui nous l’a … légué en somme.
Tant parfois nous pouvons être « tous » les artisans de nos hontes et autres décadences. A force que de nous être tus. A force que d’avoir accepté. Les débats se faisant chez le Sieur Hanouna. Une Assa Traoré faisant les délices de ces media complices quoi qu’ils disent. Les mêmes qui ce matin tairont que le compte Twitter d’une Mila a été bloqué, pour … « harcèlement ». Votre ami Omar Sy trônant au haut d’un hit parade des oersonnalités préférées des français.
Alors… Qu’une Cérémonie des Césars se croie autorisée à recenser les victimes politiques de l’année, Qu’un Vincent Dedienne ose brandir le nom d’Adama Traoré sans que personne n’ait quitté la salle, Que parmi lesdites victimes on eût omis le nom de Samuel Paty. Qu’une idiote ait réalisé ce quils appellent performance et eût dévoilé un corps dénudé porteur du message le plus lourd qui fût
Tout cela sur une scène que nous aimâmes tant
Ainsi Aujourd’hui ne pouvons-nous pas passer sous silence les mots de celui qui est supposé faire rire. Et devrions-nous nous interroger sur la vulgarité lorsqu’elle est devenue la norme. Lorsqu’elle s’est imposée. Rentrant en nos demeures via l’écran télé. Imposante. Indécente. Crasse. Violente. Nous sommant d’entendre qu’aujourd’hui « la Politique, C’est Assa Traoré ». La Chef d’un Gang qui s’empara de l’Affaire Floyd, l’Opportuniste qui ose encore venir nous parler de la défense d’un frère que nous avons appris à ne connaître que trop. Qu' »ils » reçoivent tous. Craignant d’être taxés de l’injure suprême à leurs yeux: islamophobes, va…