
L’islamisme, nouveau totalitarisme, profite d’un déni de réalité et impose sous prétexte de tolérance et d’acceptation de la diversité ses propres valeurs et ses usages pourtant en contradiction totale avec les valeurs occidentales d’égalité et de droits humains.
Aujourd’hui, l’islamisme est une extrême droite anti-occidentale et antisémite, héritière du nazisme et des fascismes européens.
Il s’agit donc aujourd’hui de bien identifier ce nouveau totalitarisme et de ne pas se tromper de cible dans un véritable combat pour la devise républicaine de liberté, d’égalité et de fraternité. Les collaborateurs ou les idiots utiles de l’islamisme font entrer le loup dans la bergerie, en qualifiant les conservateurs populistes qui résistent à l’islamisme de politiciens d’extrême droite. Même si dans les partis de ces conservateurs, il subsiste certainement des éléments anciens proches du fascisme ou en France du pétainisme, Trump, Matteo Salvini, Geert Wilders, Netanyahou, Orban, Pegida et leurs équivalents dans toute l’Europe sont des conservateurs, des populistes qui ont entendu la voix des peuples qui résistent à ces changements de civilisation voulus par l’islam politique, lui-même allié à un antiracisme immigrationniste qui refuse aux occidentaux le droit de préserver leur identité, différente de celle d’autres identités, et aux juifs d’Israël la possibilité de rester une nation souveraine, de protéger leurs frontières et de résister à la volonté islamiste d’en faire les dhimmis d’une oumma sans limites
La lutte antifasciste aujourd’hui, elle doit se mener contre toutes les tentations totalitaires et en particulier contre l’islamisme qui est une extrême droite, xénophobe, autoritaire, antisémite et anti-occidentale, comme les fascismes qui l’ont précédé au cours du siècle précédent. Les islamistes et leurs compagnons de route exploitent la peur de l’extrême droite européenne pour assurer le triomphe de leur idéologie mortifère et intolérante.