J’ai écouté attentivement à deux reprises le discours de Zemmour à la convention de la droite.
J’observe sans étonnement la levée de boucliers suivie de la curée des habituels quérulents procéduriers de l’antiracisme dont la fonction est d’empêcher toute description des réalités des banlieues sous domination des caïds de la drogue et des prêcheurs islamistes.
Sur l’islam et l’immigration, Zemmour a fait du Zemmour
Sur l’islam et l’immigration, Zemmour a fait du Zemmour et a répété et compilé tout ce qu’il dit depuis des années dans les médias en provoquant toujours les mêmes réactions outrées, indignées qui sont malheureusement moins toniques lorsque des imams appellent au meurtre ou lorsque nos dirigeants fricotent avec des islamistes avec lesquels ils se tapent sur le ventre, et qui font passer Marion Maréchal pour une chrétienne d’Orient à côté d’eux.
Beaucoup n’ont pas compris le propos de Zemmour.
Il n’a pas dit que l’islam était pire que le nazisme, il a dit que le nazisme avait été sous-estimé et était vu comme moins dangereux que l’islam dans les années 30.
En affirmant cela, il dénonce ceux qui reproduisent les lâchetés des années 30 et qui hurlaient à la germanophobie et au militarisme des va t en guerre.
Aujourd’hui les héritiers idéologiques des pacifistes, aujourd’hui on dit paix sociale, hurlent à l’islamophobie et tentent de bâillonner ceux qui font le constat du réel en ce qui concerne l’islamisme et les territoires perdus.
La dénonciation du progressisme
Le plus étonnant ne fut pas le discours sur l’islam, mais sur le progressisme, et c’est à mon avis ce thème qu’il a si bien dénoncé et disséqué qui a déclenché la charge et sonné l’heure de l’hallali.
En effet il a osé à une heure de grande écoute, décrypter le projet de société des progressistes, il a ciblé les démiurges, accusé les féministes et les lobbys LGBT qui copinent avec les indigénistes racialistes, afin de dénoncer le seul coupable de tous les maux de l’humanité, l’homme blanc hétérosexuel catholique.
Il a décrit un « messianisme sécularisé qui fait de l’individu un dieu dont les volontés jusqu’aux caprices sont sacrées et divines, qui ne voit les hommes que comme des êtres indifférenciés et interchangeables tels des legos, sans sexe et sans racines », ce messianisme annoncé comme une Révolution où il est permis d’être liberticide contre ceux qui refusent ce messianisme, pendant que la gauche prenait la « sainte cause » des minorités.
Il a aussi fustigé une propagande totalitaire et insidieuse qui utilisait la télévision, la radio, le cinéma, la publicité et internet pour formater les esprits et les gendarmer via les réseaux sociaux. Il a mis en cause les juges relais et complices pour terroriser les dissidents et impressionner la majorité silencieuse.
Zemmour s’en est pris à deux universalismes, l’universalisme marchand et l’universalisme islamique, le premier potentialisant les effets dévastateurs du second.
Le progressisme est la religion du progrès et Zemmour a blasphémé
Le progressisme est la religion du progrès et Zemmour a blasphémé, car il a pointé les apprentis sorciers du progressisme et du multiculturalisme, qui ont favorisé une immigration de masse musulmane, indispensable pour les entités islamistes mondiales afin de coloniser l’Occident de l’intérieur avec l’aide de la religion des droits de l’homme.
Les progressistes et les lâches qui sont conscients du tableau présenté par le polémiste, lui en veulent d’avoir dit à une heure de grande écoute, ce que les uns tentent de cacher, de minorer, et ce que les autres se refusent à exprimer publiquement, tétanisés par la peur de la mort sociale.
Zemmour a mis les lâches devant leur absence de courage, et les architectes de ce projet devant leur bête immonde.
Zemmour est coupable de progressistophobie !
Il a mis le progressisme à poil devant tout le monde, le progressisme est nu, et il n’est pas beau, cet attentat à la pudeur mérite d’être puni.