Le ciel est trop bleu. La mer d’une couleur turquoise qui fait trop lessive vaisselle.
Les maisons sont simplement blanches et cubiques, comme ces choses de Picasso ou Juan Gris.
Les routes sentent trop fort, elles puent un truc qui s’appelle le Jasmin. Parfois les oranges et les fleurs de cet arbre.
L’histoire désuète, ridicule, a produit des tas de ruines, comme à Carthage, El Djem, ou ces résidus de petits cubes colorés, au Musée du Bardo.
Les femmes à l’air libre sont réellement bien trop brunes, cheveux noirs au vent. Pouah, elles ressemblent à une actrice ringarde, une certaine Sophia Loren. Heureusement, il y en a de plus belles.
Les gens là-bas s’ennuient énormément. Et ont été obligé d’inventer des jeux comme la scoba, pour passer un temps inutile et lugubre. Si vous êtes plus spéculatif, vous jouerez à l’ as douze.
Question nourriture, tout est dégoûtant : les Loups au fenouil ou la langouste pour les non-juifs ( 🙂 ). Le couscous – effrayant – , parfois avec des haricots rouges ou des gombos, Des sucreries qui gâtent les dents pour rien: droo, assida, glace au sabayon, harissa-fraise-sabayon, ou simple lait de poule. Bomboloni, ou beignet à l’huile,pour engraisser soi-même et les cardiologues.
Tout le monde se moque de nous tant certains sont plus raffinés, dans leur décor Hollywoodien …
Et je me roule par terre de rire.