Le Crif est convaincu que seules des négociations directes entre Israéliens et Palestiniens peuvent permettre la conclusion d’un accord de paix.

Il appelle à ce que la conférence de Paris sur la paix préserve le nécessaire équilibre entre les parties et ne se transforme pas en tribunal anti-israélien.
Pour Francis Kalifat, président du Crif : « cette conférence ne saurait être l’otage d’ultimes manœuvres d’une diplomatie américaine en fin de mandat, visant à en détourner l’esprit et les objectifs. »
D’autre part, le président du Crif estime que « la dernière résolution votée au Conseil de sécurité de l’ONU n’est de nature ni à apaiser la situation sur le terrain ni à encourager les Palestiniens à entrer dans un processus de négociations directes ».