La médisance de Libération. René Soror

Je ne sais pas pourquoi, le journal Libération me gratifie de ses articles.
Chaque fois que Laurent Joffrin pond son torchon, j’y ai droit.
GRATUITEMENT, je précise!

Je n’ai jamais jugé utile de réagir, bien que je suis aux antipodes de ce dresseur de mots.

Il écrit ses articles en empilant des mots comme d’autres empilent le linge dans une armoire.

Aujourd’hui, sa prose me fait bouillir.

Pour son papier sur la défaite des Républicains, il titre:
La défaite de la pensée Finkelkraut

Ensuite, il n’est plus question de l’académicien.

Comme si, dire la pensée Finkelkraut devait résumer un mode de pensée universel pour ceux qui votent à droite.

Alors je dis à ce triste sire, que je vote à droite et que je ne partage pas certaines idées du philosophe.

En revanche, il taille un costard à tout ce qui est à droite et au centre,
avec de préférence, la quasi totalité de personnalités juives ou sympathisantes d’Israël.

Tout ça pour la mise à mort de ce qu’il appelle la mésaventure de François-Xavier Bellamy.

Et de déverser son fiel sur le jeune philosophe.

Pour ma part, je garde un bon souvenir de la campagne menée par François-Xavier Bellamy.

Jamais, Joffrin ne dira que la défaite des républicains tient en 2 points.
– avant tout, la présence de Laurent Wauquiez, l’homme qui engendre la détestation et qui ne réalise pas qu’il porte la défaite sur son visage.
– ensuite, nombre de personnes, qui devaient voter Républicains, ont changé d’avis le jour du vote, craignant l’avancée du RN.

Alors Laurent Joffrin: OUT?
Évidemment!!!

René Soror

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6 Comments

  1. Je ne réagis pas en tant que juif, que malheureusement je ne suis pas , jusqu’il y a peu, j’ai toujours été un électeur de gauche mais je dois avouer avec amertume que l’antisémitisme me semble particulièrement ontologique au parti socialiste ! L’histoire de l’antisémitisme est liée à celle du socialisme, ce qu’occulte aujourd’hui la domination culturelle et médiatique qui est d’opinion générale de gauche.
    L’antisémitisme est toujours très largement répandu en notre siècle, y compris et peut-être surtout dans les milieux considérés comme progressistes !
    L’homme qui a popularisé le terme d’« antisémitisme ». Wilhelm Marr, un gauchiste radical allemand du XIXème siècle, n’a peut-être pas été le premier à utiliser ce mot, mais c’est lui qui l’a fait connaître d’une large audience, en l’approuvant : « L’antisémitisme est un mouvement socialiste, plus noble et plus pur encore dans sa forme que la sociale-démocratie »  déclarait-il. Personne n’a considéré de tels propos comme bizarres. Il est vrai que la « social-démocratie » n’a pas nécessairement engendré le socialisme actuel mais quoi, hiérarchiser des critères raciaux… et traiter la droite de fachisme! Que nous ayons largement effacé ces faits de notre mémoire collective est très révélateur des préjugés politiques modernes.
    La gauche revendique des valeurs humanistes, pourquoi est-elle sélective dans ses prises de positions? La gauche porte bien un idéal, mais actuellement elle le trahit manifestement. Que sont devenues nos belles constructions humanistes; mépriser injustement une communauté? Rejeter une pensée avec mépris parce que celle-ci n’est pas celle de son parti? Il faut-être peu assuré de ses propres « convictions » pour rejeter de la sorte celles des autres.
    Toutes les actions d’un peuple peuvent-être sujet à la critique, mais pour ce qu’il est, non pour ce que l’on veut qu’il soit. Donner de la valeur à l’opinion d’autres personnes est notre dignité d’être humain est le respect des autres et de leurs options philosophiques puisque nous ne pouvons prouver notre « gageure » et infirmer la leur.
    Vous dites que cette personne est journaliste? Quelle déchéance!

  2. Libération et Joffrin sont coutumes de l’antisionisme voire de l’antijudaisme
    Rappelez vous des images truquées montrant un soldat de Tsahal frappé un pauvre arabe alors que ce soldat protègé un israeliens juif attaque par des arabes qui l’avaient jeté à terre
    Soror a raison de dire que Liberation est devenu un torchon comme toute la presse de gauche qui ment et donne la parole qu’aux gens de meme pensée comme le Monde dit l’immonde , l’observateur , l’AFP qui remporte la palme de plus grand faussaire
    Quant au socialisme il n’es que l’ombre de ce qu’il fut depuis Mitterand le petainiste jusqu’à Hollande fils de parents nazis d’extrême droite
    Le socialisme de la IV ieme RepubliquE a été le dernier sursaut humaniste de ce parti qui depuis Mitterrand a été un parti de trahison de ses valeurs jusqu’ à devenir raciste et ce aussi bien avec Jospin que Hollande
    Ou sont passes les figures brillantes de ce parti devenu avec des sbires pro arabes par calcul électoral. des anti juifs se taisant sur les persécutions actuelles des juifs français et soutenant les terroristes arabes du Hamas et Hezbollah et les iraniens des mollahs
    honte à ce parti et ses députés sous Hollande et ceux de cette assemblée qui rejoignent toute cette fange nauséabonde du PC, de LFI, de BDS, du PiR et qui ont vendu la France au Qataret aux dictatures arabes

  3. L’auteur de cet article a-t-il seulement lu celui de Joffrin dans « Libération » dont il parle ? J’en doute fort ; à moins qu’il n’ait rien compris.

    Moi, je l’ai bien lu ; et bien que Libé ne soit nullement mon canard favori, en aucun cas le texte de Joffrin (pas ma plume favorite non plus…) n’y dit ce que René Soror lui attribue.

    D’ailleurs l’affirmation « Ensuite, (après le titre) il n’est plus question de l’académicien » est fausse.
    Finkie y est bien cité, et d’une manière plutôt laudative : « …une nuée de publicistes conservateurs s’est abattue sur les studios……survolés par l’aigle précurseur et académique Alain Finkielkraut, qui est le contraire d’une buse ».

    La thèse de Joffrin (dont R.S. est totalement passé à côté) consiste à « démontrer l’emprise toute relative exercée par les médias sur les électeurs ».
    D’après lui, l’omniprésence des commentateurs « de droite » dans les médias et sur les plateaux télé (« les studios ») n’a pas sauvé la droite (LR, Wauquiez et Bellamy) de la déroute.

    Il en tire une conclusion sur l’indépendance d’esprit des votants qui ne se laissent pas conter : le « découplement qui sépare le lecteur de l’électeur, le spectateur du citoyen ».

    Et, in fine : « La droite classique, désormais, ce n’est plus Wauquiez tendance Valeurs Actuelles. C’est Macron ».
    Cela se dit un peu partout, Joffrin n’a rien inventé.

    Il cite certes les noms de certains «publicistes conservateurs » ; dont quelques, dixit Soror, « personnalités juives ou sympathisantes d’Israël ».
    Mais c’est qu’ils y sont, parmi les commentateurs omniprésents dans les médias…
    D’après Soror Joffrin aurait-il dû NE PAS les citer à cause de cette particularité hors sujet (qu’il ne mentionne d’ailleurs nulle part) ?

    Peut-on, l’ami Soror, savoir écrire mais ne pas savoir lire ?

  4. “Libération”, c’est un journal que je n’ai jamais tenu en main et encore moins feuilleté et dont je n’ai jamais lu un seul article. Je n’ai pas eu besoin de leur prose pour me forger une opinion. Je sais, c’est pas bien, j’aurais dû … juste pour comparer, mais j’ai pas pu … Une petite voix intérieure, mon petit doigt, les échos parfois insistants entendus par ci par là … je sais pas.

    • Vous n’avez donc jamais, Julius, lu « Libération » ; encore moins Joffrin.
      Moi non plus ; SAUF l’article en question ; puisqu’il fait ici l’objet de cette diatribe signée Soror, je suis allé à la source.

      Avec les conclusions ci-dessus de 1 h 24. Dont la question ‘’L’auteur de cet article a-t-il seulement lu celui de Joffrin dans « Libération » dont il parle ?’’.
      Car, sauf le fait d’être (nominalement…) « de gauche », ce qui peut arriver dans les meilleures familles, l’article de Joffrin (à condition de le lire !) est à l’abri de tout reproche.

      MAIS les deux autres commentaires ci-dessus, à l’évidence, n’avaient pas lu l’article de Joffrin non plus ; ils ne font que surenchérir dans la diatribe moyennant une litanie préconçue habituelle, indépendante du texte de Joffrin.

      Bref, le troupeau bêle à l’unisson au sujet d’une chose jamais vue et dont ils ignorent tout.

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