Des choses à savoir sur les 10 commandements

4000 ans plus tard, les 10 commandements continuent de nous révéler qui est Dieu.

Il y a 4000 ans, Dieu révélait à Moïse ses 10 commandements sur le mont Sinaï. Sa loi sur des tables de pierre. Moïse les a transmis au peuple pour qu’il les mette en pratique. Ces tables de la loi divine sont au centre de l’Ancien comme du Nouveau Testament. 4 millénaires plus tard, les 10 commandements sont toujours d’actualité. Ils peuvent même dévoiler encore certaines réalités.

Moïse ne les appelle pas « les 10 commandements »

Les 10 commandements. Probablement, la référence religieuse la plus connue du monde. Pourtant, jamais la Bible n’en parle en ces termes. Les 3 références de l’Ancien testament parlent de « 10 mots », d’où l’appellation ultérieure de « décalogue ». 10 mots, 10 paroles de Dieu pour son peuple.

Ils révèlent qui est Dieu

Toute loi dépend intimement de son législateur. Les 10 commandements ne nous disent pas ce que Dieu veut. Ils nous disent ce que Dieu est. Ils nous parlent de ses valeurs et de sa majesté. Alors, ne pas respecter les 10 commandements, c’est manquer de respect à Dieu lui-même.

Ils nous distinguent du monde

C’est un fait. Nous sommes différents du monde. Nos valeurs sont différentes. Nos choix sont différents. Notre appel est différent : être une nation sainte.

Ils posent les fondements de notre liberté

Les 10 commandements ne sont pas un cumul de contraintes. Ils sont des rails pour révéler notre potentiel. Dieu nous rend libre. Ses commandements permettent à un peuple libéré d’Egypte de rester libre !

On ne gagne pas notre salut en les suivant

Certains pensent : Dieu me donne des règles, je les respecte, je suis sauvé. Mais quelle erreur ! Non, Dieu voit son peuple opprimé. Il entend sa voix. Il le libère, le pardonne et lui donne une nouvelle façon de vivre. Le salut ne récompense pas notre obéissance. Le salut, c’est la raison pour laquelle nous voulons être dans l’obéissance.

Ils sont toujours fiables

Les lois, les codes culturels évoluent. Les actes qui choquaient hier, sont dans la norme culturelle aujourd’hui. Ce qui est faisable dans un pays, ne l’est pas ailleurs. Mais les 10 commandements sont toujours d’actualité après 4000 ans, et ce, partout dans le monde.

Ils sont des fondamentaux de l’Ancien Testament

Les 10 commandements ont une place particulière dans l’histoire du peuple de Dieu. Le feu, la nuée, la voix forte. La révélation de Dieu ne passe pas inaperçue. Les tables de la loi sont placées dans l’arche de l’Alliance avec la manne et le bâton d’Aaron. Ils forment une sorte de Constitution pour Israël.

Lire la suite : infochretienne.com

Source : The Gospel Coalition

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4 Comments

  1. Des articles d’origine chrétienne, notamment évangélistes, pullulent récemment sur TJ ; et certains lecteurs semblent être de cette obédience à en juger d’après leurs commentaires.

    Ce texte en fait partie ; après vérification son origine (The Gospel Coalition) est effectivement une organisation évangéliste à but prosélyte comme l’ensemble de cette mouvance.

    Sachons donc à quoi on a affaire.

    Globalement, les évangélistes considèrent que le retour d’Israël à sa terre promise est une condition préalable à l’avènement de la fin des temps et d’un monde paradisiaque.
    CAR c’est là-bas que les Juifs reconnaitraient la nature divine du Christ…

    Sionistes, les évangélistes ? De manière toutefois curieuse ; ils adorent les Juifs qui ne (le) sont plus…

    • Les évangélistes sont des chrétiens et non pas des juifs. Ils soutiennent Israël et les juifs sionistes qui n’ont pas tant d’amis dans le monde pour se permettre de les dédaigner. Tribune juive respecte leur foi et publie souvent des textes inspirés par eux.Les évangélistes adorent les juifs même s’ils restent juifs et pensent que le Messie ( re) viendra pour les convaincre.

    • A Passepartout :
      Si, comme vous dites, les évangéliques (et non pas « évangéliste », qui est un ministère) adoraient les Juifs, ils seraient alors idolâtres, désobéissant de manière flagrante à la première parole de Dieu : « Tu n’auras pas d’autres dieux que moi ». (Exode 20). Or ils ne sont pas idolâtres. Donc les évangéliques AIMENT tout le monde, a fortiori les Juifs, qui, comme vous dites justement, « ne le sont plus », j’ajoute selon les critères BIBLIQUES, puisque Juifs selon le judaïsme RABBINIQUE qui n’est pas divin. Donc les évangéliques, qui comprennent des croyants issus de toutes les nations ET des croyants issus d’Israël (qui se distinguent notamment par l’appellation « Juifs messianiques »), AIMENT les Juifs RABBINIQUES mais ne les adorent pas du tout.

      Par ailleurs, pour ce qui concerne l’avènement de la fin des temps (très justement et non « fin du monde » comme beaucoup le disent), le retour d’Israël à sa terre promise est effectivement UNE condition préalable, REMPLIE à présent, en attendant que les autres conditions se mettent en place…

      A noter que le « monde paradisiaque » auquel vous faites allusion ici est en fait le règne messianique qui durera 1000 ans qui verront la terre redevenir saine par l’assainissement des eaux qui jailliront du seuil du Temple messianique à Jérusalem et se déverseront dans les mers (Ezéchiel 47, Zacharie 14, 8). Par contre, les nations, rescapées des jugements divins qui auront sévi préalablement sur toute la terre, seront tenues en bride sous l’autorité du Messie, Jésus, et auront des obligations notamment celle de monter à Jérusalem, chaque année (pèlerinage) sous peine de… (Zacharie 14, v. 16 et suivants). Par conséquent, « paradisiaque » n’est pas vraiment le mot à employer ici, il se rapporterait plus précisément à la période située après les 1000 ans de règne messianique, et après le jugement dernier, lorsque cette terre aura disparu remplacée par une nouvelle terre et de nouveaux cieux (Seconde Lettre biblique de Shimon-Pierre aux dispersés, chap. 3, versets 7 et 12-13 ; Apocalypse 21). A ce moment-là ce sera vraiment paradisiaque…

  2. L’Eternel est au delà de toute détermination.
    Le dieu que l’on définit, que l’on instrumentalise, que l’on commente,que l’on s’attribue, n’est pas l’Eternel.

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