Ori avait de qui tenir… Yad Vachem

#Emotion. L’assassinat d’Ori Ansbacher par un terroriste palestinien a bouleversé tout un pays.

Son arrière grand-père, le #rabbin Leo Ansbacher, était un personnage hors du commun.

Voici son histoire pour ne pas oublier cet épisode tragique de l’histoire juive qui nous relie à la triste actualité familiale et nationale.

Le rabbin Leo Ansbacher, dirigeant spirituel du camp d’internement de #Gurs en France en 1940 va créer un comité officiel, le CCA – Comité central d’assistance – pour gérer les malades, l’éducation, la vie religieuse et l’apprentissage de la #Torah. Les shabatot et les jours de fête juives, des prières collectives sont organisées et le rabbin délivre souvent des Divrei Torah (discours religieux) réconfortants.

En 1941, avant les fêtes de #Pessah au camp de Gurs, le rabbin Ansbacher participe à la reconstitution d’une Haggadah de Pessah de mémoire. Il existe un certain nombre de copies ronéotypées de cette Haggadah – l’une d’elles est conservée dans la collection d’objets de Yad Vashem.

Sur la couverture intérieure, se trouve une illustration représentant le rabbin Ansbacher en train de faire un discours lors du service de #Yizkor (prière commémorative pour les défunts) le dernier jour de Pessah.

En 1942, avec le début des #déportations vers les camps de la mort, le rabbin Ansbacher est accusé d’avoir aidé des prisonniers à s’échapper et il est exfiltré clandestinement du camp.

Il s’enfuira en Espagne puis fera son #aliyah. Il est décédé en 1998 à Netanya.

Que leurs mémoires soient bénies.

Crédit (texte et photo): Yad Vachem

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