Mort de Rafsandjani, l’homme aux 300 attentats terroristes

Sourires, you-yous, gâteaux, applaudissements, vœux fervents qui appellent le Diable à venir aussi chercher l’autre. Rafsandjani est mort, l’un des deux piliers de la dictature religieuse en Iran. rafsandjani_mort

L’autre c’est Khamenei, et chez les Iraniens l’espoir très vif que la mort l’emporte aussi ne cesse de grandir. Sur les réseaux sociaux on peut lire : Bye bye Kousseh, requin en persan, le nom dont l’affublaient les Iraniens et qui reflète bien ce monstre.

Rafsandjani, l’homme aux 300 attentats terroristes dans le monde, fiché S bien rouge à Interpol pour l’explosion du centre de l’Amia en Argentine avec ses 85 morts et ses 300 blessés, les assassinats en France, notamment celui de Bakhtiar, les bombes à Paris, le Drakar à Beyrouth, les dirigeants kurdes à  Vienne et à Berlin, les membres de la résistance iranienne comme le Dr Kazem Radjavi assassiné à Genève, Mohammad-Hossein Naghdi représentant du CNRI en Italie, et tant d’autres.

Rafsandjani c’est l’homme qui a encouragé l’envoi de milliers enfants sur le front de la guerre Iran-Irak où ils ont sauté par vagues entières sur les champs de mines.

Rafsandjani c’est celui qui affirmait que le cerveau des femmes est plus petit que celui des hommes d’où la raison pour les priver de leurs droits.

Rafsdnajani c’est l’homme de 120.000 exécutions politiques et qui a appuyé de toutes ses forces le massacre de 30.000 prisonniers politiques de 1988 en Iran, ordonné par Khomeiny.

Les lobbies de la complaisance avec les mollahs peuvent bien le pleurer et lui tirer des portraits de réformateurs et d’homme au sourire … jaune. Il reste un pilier de la corruption avec un empire financier fort de milliards de dollars en Iran et à l’étranger. Il reste le père du terrorisme islamiste, il reste le père des châtiments cruels qui préconisait pour les opposants de leur trancher le pied gauche et la main droite avant de les exécuter.

Les Iraniens se réjouissent de la mort d’une des têtes du dragon. L’autre crache encore le feu et son venin. Comme l’a dit la dirigeante de l’opposition iranienne, Maryam Radjavi, le régime qui s’appuyait sur Rafsandjani et Khamenei, vient de perdre un pilier et la clé de son équilibre.

Il suffit désormais de pousser le cul-de-jatte pour qu’il tombe à terre. Les Iraniens sont prêts.

Source iranmanif

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