Les Balkany en route vers le tribunal : #UnechansonPourBalkany sur Twitter

La perspective d’un procès pour fraude fiscale se précise, avec un premier renvoi en correctionnelle ordonné pour le couple à la tête de la mairie de Levallois-Perret.

Les époux Balkany dans le prétoire… Le volet fraude fiscale de l’instruction à tiroirs visant le maire (LR) de Levallois et son épouse et première adjointe est clos. Le renvoi en correctionnelle du maire et de son épouse et première adjointe est ordonné.

Patrick et Isabelle Balkany devraient donc comparaître pour avoir caché des millions d’euros au fisc. La fraude est évaluée à quelque 13 à 15 M€. Et ce n’est pas tout. Les juges d’instruction parisiens qui enquêtent sur le patrimoine des Balkany depuis la fin de l’année 2013 en ont aussi terminé de leurs investigations pour blanchiment de fraude fiscale et corruption.

Aussi, sauf recours et demandes d’actes d’investigation complémentaire, le parquet national financier pourrait délivrer son réquisitoire définitif au début de l’été. A coup sûr, il demandera aussi un procès dans ce volet blanchiment de fraude fiscale et corruption.

Petits revenus et train de vie de pacha

Il en est un que les époux Balkany doivent maudire, c’est Didier Schuller. Celui par qui les ennuis sont arrivés dès lors que cet ancien proche du maire de Levallois a évoqué devant le juge Van Ruymbecke, à l’automne 2013, le patrimoine vertigineux des époux Balkany. Un patrimoine et un train de vie sans commune mesure avec les 200 000 € de revenus annuels déclarés du couple.

Ainsi, les juges et les enquêteurs de l’Office de lutte contre la corruption et les infractions fiscales et financières ont décortiqué le financement de leurs propriétés. Il y a la fameuse villa Pamplemousse de Saint-Martin, appartenant officiellement à une société du Lichtenstein dont Isabelle Balkany est l’ayant droit. Autrement dit, c’est elle qui possédait Pamplemousse via une société écran.


Outre les Antilles, les Balkany aimaient à fréquenter le Maroc, où ils séjournaient souvent dans leur riad de Marrakech. Là encore, ni l’un ni l’autre n’apparaissent comme propriétaires de ce petit palais acquis pour plus de 5 M€, mais une SCI composée en partie d’une société panaméenne et dont l’ayant droit est Jean-Pierre Aubry, ancien directeur de cabinet du maire de Levallois, fidèle d’entre les fidèles. Lui aussi risque la correctionnelle.

Reste le moulin de Cossy, à Giverny, dont les époux Balkany ont fait donation à leurs enfants, saisi par la justice comme l’ensemble du patrimoine. Et les comptes dans des banques off-shore et les montages via des sociétés implantées dans des paradis fiscaux.

Mercredi, l’avocat du couple, Me Grégoire Lafarge, se refusait à tout commentaire. Tout comme Isabelle Balkany qui est pourtant une abonnée aux réseaux sociaux, plutôt prompte à crier ses indignations.

Quand les Twittos s’en prennent aux époux Balkany

 

Source leparisien et lavoixdunord

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3 Comments

  1. il a un petit air de famille avec enrico lachiasse ,il est juif comme lui et sioniste comme lui
    malgres ses malversations ,balkany ne sera jamais condamné car il fait partie de l’elite israelite sioniste qui domine et vole la france
    voir sur google :1la france sous l’occupation sioniste
    2 macron ,le candidat d’israel

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