François Hollande en rassembleur contre le terrorisme et la tentation autoritaire

Lors d’une rencontre avec l’Association de la presse présidentielle, mardi 2 août, le chef de l’État a considéré que « la place de la France » et « la démocratie » seront les enjeux de l’élection présidentielle de 2017.

hollande

Sans rien dévoiler de ses intentions en vue du scrutin, François Hollande travaille toujours plus son image de rassembleur et de protecteur des Français contre le terrorisme et « la tentation autoritaire ». Ce fut encore le cas mardi 2 août, à l’occasion de sa rencontre annuelle et informelle avec les journalistes de l’Association de la presse présidentielle.

Garant de l’état de droit

Après les attentats à Nice et Saint-Etienne-du-Rouvray, François Hollande avait choisi de ne pas faire de démonstration de communication, se réservant pour cette rencontre. Le président de la République y a délivré un message. Selon lui, « la place de la France » et « la démocratie » seront les enjeux de l’élection présidentielle de 2017, et il en sera le défenseur. Sans rien dire de ses intentions, il s’est posé une fois de plus en rassembleur et en garant de l’état de droit protecteur des Français, contre le terrorisme et contre l’extrême droite. Une confirmation du positionnement qu’il cultive depuis le discours devant le Congrès du Parlement, en novembre dernier, et qu’il endossera le moment venu s’il doit être candidat à un nouveau mandat, ce qui semble de plus en plus probable.

Pour lire la suite, cliquer sur le lien   http://www.la-croix.com/France/Politique/Francois-Hollande-se-pose-en-president-candidat-rassembleur-2016-08-03-1200779894?utm_source=Newsletter&utm_medium=e-mail&utm_content=20160803&utm_campaign=newsletter__crx_alert&utm_term=274843&PMID=523a66b6c3e4fb1f48902e4e69354804

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1 Comment

  1. Ces déclarations me font penser à la fable de La Fontaine, la mouche et le coche.
    Quand il dit que la plaçe de la France et la démocratie seront les enjeux des prochaines élections, c’est tout simplement parce qu’il compte en faire ses chevaux de bataille. Autant choisir son terrain!
    Quoi qu’il en soit, le fait même de caresser l’idée d’un 2ème mandat, montre qu’il est dans sa réalité mais pas dans celle des francais.
    Comme dit l’autre, basta cosi!

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