Wonder Woman, guerrières de mère en fille

Une nouvelle bande-annonce du film de Patty Jenkins a été mise en ligne le 12 mars par les studios Warner Bros. Centré sur la jeunesse de l’héroïne, le long-métrage est attendu en salle le 7 juin prochain.1753a02c4f9bc27b4031921d66f14320

Électrisante, épique, énigmatique… Les adjectifs ne manquent pas pour qualifier la nouvelle vidéo promotionnelle de Wonder Woman, dévoilée dimanche par les studios Warner Bros. Cette troisième bande-annonce lève le voile sur un point encore jamais abordé: la jeunesse de l’héroïne, incarnée par l’actrice Gal Gadot. Car avant de devenir la redoutable Wonder Woman, la princesse Diana a subi dès son plus jeune âge un cruel et difficile entraînement auprès des amazones.

Une enfance marquée par l’omniprésence de femmes fortes. La future Wonder Woman est entourée de sa mère Hippolyte, jouée par Connie Nielsen et de ses deux tantes, la générale Antiope, incarnée par Robin Wright, et son premier lieutenant Menalippe, interprétée par Lisa Loven Kingsli. Ces trois femmes ont élevé Diana Prince, mais n’ont pas toujours été d’accord sur les principes à lui inculquer. «Diana est la seule enfant qu’elles ont élevée ensemble, et l’amour qu’elles ont pour elle se manifeste de manière différente dans le film», explique la réalisatrice Patty Jenkins.

La plus célèbre des super-héroïnes

Créé par William Moulton Marston (sous le pseudonyme de Charles Moulton) dans les années 1940, Wonder Woman reste encore aujourd’hui la plus célèbre des super-héroïnes de l’univers DC Comics. Pourtant, peu d’actrices l’ont incarnée sur le petit et grand écran. Avant Gal Gardot, Adrianne Palicki a enfilé le costume rouge, bleu et doré de l’Amazone en 2011… le temps d’un seul épisode. Sa courte prestation ne marqua pas les esprits, contrairement à celle de Lynda Carter, qui se révèla éblouissante dans l’adaptation télévisuelle des années 1970 diffusée aux États-Unis. La série, malgré son côté kitsch, connu un succès phénoménal. Souhaitons à Gal Gardot la même postérité.

Cela semble en tout cas bien parti. Apparue pour la première fois dans le décevant Batman v Superman: L’Aube de la justice, l’actrice israélienne semble se distinguer par son charisme. Nul doute que cette nouvelle Wonder Woman, «plus sexy et badass», devrait plaire aux fans de la franchise DC comics. Le long-métrage de Patty Jenkins est attendu en salle le 7 juin prochain.

Source lefigaro

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