Cape Town va bientôt manquer d’eau, grâce à BDS

La sévère crise de l’eau de Cape Town, qui subit des restrictions terribles, est un cadeau dont on peut être fier, offert par BDS!

Cape Town 2018 illustre ce qui survient quand une ville se préoccupe plus de politique que des gens, ses administrés. Cape Town 2018, c’est ce qui arrive quand un gouvernement national veut démontrer au gouvernement local qui est le vrai patron. Cape Town 2018, c’est ce qui arrive quand une administration locale n’est pas équipée pour faire face à une véritable crise. Et Cape Town 2018 est ce qui se produit quand la communication tobe en pièces détachées, à tel point que le bruit en devient assourdissant et qu’on ne peut plus capter le message essentiel…

Cape Town 2018, c’est aussi ce qui se passe quand des solutions pertinentes de sauvetage sont envoyées à la casse, à cause de BDS et de son foutu antisémitisme.

Cape Town est sur le point de devenir la première grande ville dans le monde à être à court d’approvisionnement en eau. La ville éprouve sa pire sécheresse de toute son histoire. On exige des résidents qu’ils utilisent moins de 50 litres d’eau par jour et il est très improbable que cela puisse écarter un “Jour Zéro -sans eau”. Le jour où les robinets vont s’assécher. Il est inimaginable de savoir quelles alternatives vont être mises en place pour faire face à la série d’événements qui vont s’accumuler en “cascade”, ce jour-là.

On a tous ce genre d’amis. Le mien m’envoie souvent un message WhatsApp simplement marqué : “ITYS!”. Au début, je n’avait absolument aucune idée de ce que cela voulait dire, jusqu’à ce que je réalise ce qu’il disait : ” I Told You So” (Je te l’avais bien dit) -mais j’étais vraiment trop occupé pour chercher à interpréter cette phrase – . C’est à la fois ennuyeux, frustrant et exaspérant. En particulier  quand il a raison. Et parfois, peut-être, ce n’est pas si mal de l’entendre.

Il n’y a aucune satisfaction à tirer du fait que les résidents de Cape Town sont au bord d’une crise humanitaire qui aurait pu et aurait dû être évitée. Même si nous la voyons arriver.

Le 18 février 2017, j’ai écrit une article sur mon blog dans le Times of Israel. Cet éditorial était rempli de colère et relatait la “victoire” de BDS, quand ils sont parvenus à saboter la Conférence organisée sur l’eau par le journal sud-africain Mail&Guardian. Ils l’ont fait, parce qu’Israël faisait partie du panel. Et ils étaient ravis d’avoir pu annuler sa présence. C’était un nouveau trophée de guerre. C’était une médaille d’or dans leur guerre médiatique contre l’Etat Juif et ils ne pouvaient plus attendre pour partager d’aussi bonnes nouvelles  à quiconque voulaient les entendre.

Dans cet article, je disais ce qui suit :

“Au beau milieu d’une des pires sécheresses de mémoire vivante en Afrique du Sud, une conférence sur l’eau a été organisée par le Mail & Guardian Africa. Sur la liste des délégués, on trouvait l’Ambassadeur d’Israël en Afrique du Sud, Arthur Lenk. Au cours de son mandat dans le pays, Lent a dépensé des efforts considérables à prodiguer des conseils sur l’éducation et à assister la région à chaque fois que possible.

“Comme conséquence de la participation d’Israël, autant que de l’entrée libre au colloque, une autre délégation, celle du Prof Lorenzo Fioramonti de l’Université de Pretoria, a annulé sa participation. Et bien que la conférence devait encore se poursuivre, elle s’est ensuite trouvée mise sur la sellette. Inutile de dire que des promesses de la reprogrammer ultérieurement ont été faites, mais il subsistait peu de chances de pouvoir tenir la otalité du programme prévu à une nouvelle date ultérieure.

“Radio Islam d’Afrique du Sud a célébré cet annonce en interviewant le Professeur Patrick Bond, quqi adhère très étroitement au manuel du parfait petit incitarteur à la haine antijuive. Apparemment, tout ce qu’Israël est parvenu à accomplir dans ce domaine peut être réalisé par un enfant de cinq ans et tout ce qu’Israël a fait est uniquement de pratiquer “l’Apartheid de l’eau” et de voler l’eau des puits Palestiniens, quand ce n’est pas les avoir empoisonnés.

Ce n’est pas du tout une réalisation sur laquelle se pencher. Il s’est exprimé avec autorité et s’est joué de son interlocuteur qui portait plus d’intérêt à la situation critique des Africains locaux que ne le fait le professeur. Son narratif dégoulinait de haine et le vernis de prétention à l’objectivité universitaire ne parvenait que très peu à masquer cet agenda.

Une leçon que le professeur doit retenir, c’est qu’en ne concédant même que très peu de choses positives aux réalisations d’Israël, il n’en aurait rendu le reste de sa fiction plus crédible. Il n’a fait, bien entendu aucune mention de la désalinisation ni du fait que les villes israéliennes recyclent environ 85% de leur eau. Pas plus qu’il n’a mentionné aucune autre réalisation en Israël, qui a modifier pour le mieux l’écologie du pays.

“The fact that Southern Africa is experiencing one of the worst droughts in living memory, and that the situation is critical, is not a concern for those who hate Israel. And this comes as no shock to those familiar with BDS standard operating procedure. What does come as a shock is the celebration and joy of the BDS at the cancellation of a conference designed for one purpose in might. To assist the suffering of the African people. And if that doesn’t send a message, then I don’t know what does.”

“Le fait que l’Afrique du Sud fait l’expérience d’une des pires sécheresses de mémoire humaine et que la situation est critique n’est en aucun cas une préoccupation pour ceux qui haïssent Israël. Et cela ne produit pas de choc particulier à ceux qui sont habitués aux standards appliqués par BDS dans ses procédés d’actions. Mais ce qui devient particulièrement choquant ce sont ces célébrations et explosions de joie chez BDS, à l’annoncez de l’annulation d’une conférence conçue avec un objectif en puissance. Assister la souffrance du peuple africain. Et si cela n’adresse pas un message clair, alors je ne sais pas du tout ce qui le pourra”.

L’ancien Ambassadeur israélien en Afrique du Sud, Arthur Lenk, l’actuel Ambassadeur Lior Keinan et les attachés économiques d’Israël en Afrique du Sud ont tous fait des ouvertures aux organismes concernés pour apporter leur assistance à la crise de l’eau de Cape Town. Bien qu’elles n’aient pas officiellement été rejetées, personne n’a engagé aucune démarche exploratoire à aucun niveau.

Lord Peter Hein, connu par les Sud-Africains pour sa lutte contre la corruption, a récemment tweeté ce qui suit : “Les meilleures compagnies de construction de systèmes de dessalinisation se trouvent en Israël et sont indépendantes de la politique du gouvernement, elles devraient être, de mon point de vue, présentes à Cape Town, qui reste néanmoins la plus belle ville du monde”.

Le peuple de Cape Town mérite bien mieux que cela. Il faitface à un probable écroulement total de son économie, de ses infrastructures et de sa vie quotidienne. Ces gens ne méritent pas qu’on leur refuse des solutions, parce qu’un groupe de partisans de BDS ont réussi à intimider des politiciens couards pour les amener à se soumettre.

Personne ne veut avoir à dire : “‘Je te l’avais bien dit!”

Howard Feldman avocat, écrivain par obsession.

Traduit et adapté par Marc pour jforum

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1 Comment

  1. pourquoi israel doit se meler de la vie des autres pays , musulman de surcroit il faut les laisser , en paix avec leurs assassins comme les francais les beilges les anglais , l’afrique appartient aux noirs ils vivent tres bien sans que les blancs s’en melent et leur apportent la famine et les guerres entre eux , pour pouvoir leur voler leur richesse
    de toute facon israel est et sera toujours mal vue par ces gens , il ne faut pas les aider ca ne sert a rien .

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