Paris 18ème: une petite Juive en CM2 insultée et battue

Le BNVCA est requis par la maman d’une fillette élève de CM2 à l’école primaire Paris 18e qui se plaint que son enfant de 10 ans a été violemment agressée par des camarades de classe au motif qu’elle est juive.

Le BNVCA vient d’être requis par la maman d’une élève de CM2 à l’école primaire Paris 18eme, qui se plaint d’avoir été battue, insultée et frappée par certains camarades de classe au motif qu’elle est de confession juive.

Selon la maman et les déclarations de sa fille Ness C. contenues dans la plainte déposée auprès du service de Police, la fillette âgée de 10 ans aura du essuyer des insultes et des coups à plusieurs reprises et durant plusieurs jours consécutifs.

En raison des souffrances provoquées à l’abdomen et aux côtes, l’enfant a été transportée à l’hôpital par sa maman. Les blessures occasionnées ont conduit le médecin des UMJ à prescrire 10 Jours d’ITT.

Le BNVCA a demandé à la police de tout mettre en oeuvre pour vérifier si, comme l’exprime la fillette, elle a été agressée pour des motifs de nature antisémite, et dans ce cas, d’en tenir compte dans le cadre de l’enquête.

La maman se plaint de la carence de la Direction de l’école qui n’aurait pris aucune mesure pour protéger son enfant, ni sanctionné les jeunes agresseurs. Le BNVCA a contacté le Rectorat de Paris qui a reçu la plaignante, et nous a confirmé qu’il prenait l’affaire au sérieux et acceptait d’accéder à la demande formulée par la maman de faire transférer son enfant dans un autre établissement de son choix.

Source sosantisemitisme

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20 Comments

  1. Il est urgent qu en Israel on ameliore grandement l accueil des olims de france , qui aujourd hui sont bloques en france a cause du j menfoutisme des responsables Israeliens !

  2. Quelle est cette logique perverse et soumise selon laquelle nos enfants devraient quitter leur Ecole et leurs parents quitter la France? Selon laquelle la victime encourrerait ( ou diable est mon bescherelle ) une double peine et le fauteur et ses parents resteraient impunis et séviraient à nouveau?
    Jusqu’à quand laissera-t-on des irresponsables et des lâches se prétendre pédagogues? Un élève ne traite pas un autre de “sale juif” un beau jour, comme ça: une telle parole libérée est la resultante d’un faisceau de compromissions, de peurs, d’accommodements, de consentements, ce déni qui est en train de tous nous mener à l abattoir. Et selon leur rite: le rite musulman. Egorgés.

  3. Je persiste, on ne laisse pas un enfant dans une école lorsqu’il en souffre. Si les responsables ne font rien, c’est un devoir de quitter ce qui a mon avis n’est pas de la lacheté !
    Un enfant risque d’ètre psychologiquement détruit par ces agressions qu’il subit.

  4. Encore une fois, la bête immonde a agi! Si seulement, le procès en cours montrait tout d’abord la carence parentale!!! Par ailleurs, le titre de votre article me gêne : “une petite juive”… Pour moi, c’est avant tout “une petite fille”!…

    • Une petite fille insultée et battue, c’est banal dans les écoles : violence, méchanceté, jalousie et les incidents des cours de récréation peu intéressants.
      Des insultes antisémites et des actes de brutalité sur une petite fille juive PAR DES PETITES FILLES DU MÊME ÂGE, uniquement parce que la victime est juive, C’EST TERRIFIANT!

      • La responsabilité des parents: Veiller au bonheur de leur enfant.
        Alors des enfants voyous dans une école est évidement sous la responsabilité de la direction et également des enseignants.
        J’ai connu un enfant opprimé a l’école, il en a été marqué jusqu’à l’âge adulte. Mais dans ce cas-ci il s’agit d’antisémitisme. Ou bien les parents agissent rapidement avec la direction. Si pas de réaction, retirer leur enfant qui est sans protection, il n’y a pas de compromis en disant que sa passera, bien au contraire, l’enfant continuera à subir pendant sa scolarité.

  5. Et pourquoi ce ne serait pas ces sales gosses qui prendraient la porte ?
    Renvoyés tout simplement, en bonne logique, par le ou la proviseur.
    Changer cette fillette d’établissement c’est lui donner un comportement de fuite devant le danger. Sa maman doit demander une confrontation avec les parents de ces élèves. Des gosses ne traitent pas une camarade de “sale juive” sans avoir entendu des réflexions analogues dans leur familles. Si ce n’est pas le cas les parents se chargeront ” d’ éduquer ” leurs enfants.
    La maman peut commencer à inscrire sa fille à des cours de krav maga, de judo, de jiu jitsu et pourquoi pas, de boxe.
    La gosse a l’âge requis et cela lui donnera de l’assurance et pourra lui servir.

  6. Mais enfin, ce n’ai malheureusement pas la premiere école, a Paris mais également a Bruxelles que des enfants juifs sont agressés par une meute d’enfants dévoyés. Oui bien sur une confrontation avec les parents et les enseignants, franchement vous revez, a moins d’un petit miracle. Un enfant a cet age n’est pas capable d’assumer puisque personne lui vient en aide a l’école. Un enfant de dix ans peut très bien changer d’école et s’intégrer facilement Je vous rappelle que la souffrance de l’enfant peut aboutir a des conséquances graves. un psychologue devrait prendre en charge la fillette.

  7. Bien sûr cette fillette aura besoin d’un psy. et après le suivi des voyous vous en faites quoi ?
    L’école aura un gros panneau “interdit aux Juifs” sous peine de baffes ?
    Ras-le-bol de cette attitude à la Calimero.
    La fuite en avant jusqu’en Israël, si vous en avez les moyens ou si l’on ne vous tue pas avant !
    Mais surtout ne jamais porter plainte contre cette école et ces gosses ; ne pas faire de vagues.
    Faites cela à un gosse de la “diversité” et demain vous aurez le feu dans l’école.

  8. Si les responsables de l’école n’agissent pas rapidement, alors effectivement cette école est interdite au Juifs. Qui se tait consent!
    Que vouez-vous, que l’enfant de 10 ans passe son temps a se défendre a l’école ?
    A quand une manifestation de solidarité des parents des élèves ?

  9. Il existe un mot savant pour décrire deux attitudes à adopter en même temps, et c’est le mot “concomitamment”.
    En effet, Georges Brandstatter – Guiborat – André Mamou et Sarah Cattan, vous avez tous les quatre raison, c’est sûr.
    Il conviendrait donc d’ccompagner et protéger l’enfant psychologiquement, de faire intervenir les parents ET les instances communautaires juives auprès du chef d’établissement, (éventuellement auprès du Ministère de l’Education), et, si cela s’avère nécessaire pour l’équilibre de l’enfant, lui faire changer d’école.

  10. Vous me sidérez! Vous tous ou quasiment! Ahurissant….
    Je ne me souviens pas q=avoir eu de problèmes entre 1946 et 53 en Primaire jusqu’en 6e…. mais en 5e/4e je me souviens bien que des insultes hasardeuses furent suivies de coups de poing qui “résolurent” le problème tempotairement jusqu’à ce que vers le 3e on se déciide apr-s 3 ou 4 incidents d’où j’étais sorti “victorieux” aux poin(g)(t)s! je jouiise jusqu’au Bac, d’une tranquille notoriété…La “plus belle” fut qu’un emmerdeur professionnel s’est hasardé à me mal-traiter en clase de Latin Français et il était derrière moi au 2e rang. il est parti Avec sa chaise sous le 3e rang et j’ai expliqué au Prof le motid de ma soudaine action et tout fut enterré à jamais à l’instant. Des deux côtés: Lycée et Elèves….”L’emmerdeur” subit ainsi la lourde charge de Meneur-Mené. Il se fit plus discret>.
    J’aime bien la remarque sur Calimero qui semble être tiré de l’Histoire récente des juifs non sionistes qui ne font pas le coup de poing mais restent de surcroît dans leur petit enfer qu’ils aiment tant!
    A juifs minables, antisémites glorieux…

    • Heureusement pour vous, Yankel, les antisémites en France, dans les années 5o, n’étaient pas des islamistes jihadistes conquérants que l’on rencontre aujourd’hui. Net faites donc pas de comparaisons oiseuses.

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